• Tupperware

    Cuiseur à riz

    En 1947, Earl Tupper ne réussit pas à conquérir le marché des ménagères par la vente en magasin (qui s'est traduit par un fiasco), les quincailleries et grands magasins se révélant peu propices à la visibilité du produit. Tupper essaya alors de comprendre la raison de cet échec et remarqua que Garry Macdonald, vendeur de porte à porte, et Brownie Wise, démonstratrice, étaient les seuls à écouler ses produits. Ils travaillaient pour la société Stanley home, inventrice de la technique de démonstration-vente à domicile, et firent découvrir à Tupper cette méthode. Tupper embaucha Wise pour la développer au sein de sa société.Sources Wikipedia.

    Ps : Avec l'essoreuse à salade, et le cuiseur (riz,poisson,pâtes) c'est ce qu'il me reste et ça fait une paire d'années. Cette trouvaille  a été révolutionnaire pour nous les ménagères, perso je l'ai adopté immédiatement.Simple et efficace, j'ai fait à une certaine époque de la vente à domicile quand les fins de mois n'étaient pas faciles. Ah, je ne vous dis pas les amis que de souvenirs.

    Tupperware

    Arlette

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  • La plume ou porte plume

    Le porte-plume est un petit manche de bois, de métal, d'ivoire, de matières plastiques, ou de tout autre matériau, à l'extrémité de laquelle est insérée une plume, en général métallique, que l'on trempe dans l'encre pour écrire ou pour dessiner. La plume tient en place soit en force par la relative élasticité du métal, soit par un petit levier incorporé au porte-plume qui permet de la bloquer ou de la débloquer facilement.

    Le porte-plume associé à la plume métallique a succédé à la plume d'oie utilisée traditionnellement en Occident pour l'écriture manuscrite. Il a été supplanté dans les années 1960 par le stylographe (à réservoir ou à cartouche), le stylo-bille, les feutres, etc. Le porte-plume associé à divers types de plumes métalliques reste irremplaçable dans l'exercice de la calligraphie classique.

    Par leur variété de formes, de matières et de décoration, les porte-plumes anciens sont souvent aujourd'hui des objets de collections.Source Wikipedia.

    Ps : Qui n'a pas connu le porte-plume et son encre qui nous salissait les doigts.Seul l'eau de javel enlevait l'encre.

     

     

    La plume ou porte plume

     

     

    Invention Hollandaise introduite au XVIIe siècle à Port-Royal, venant des Pays Bas où les Jansénistes avaient des correspondants, et répandue en Angleterre à partir du milieu du XVIIIe siècle, la plume métallique se répand en France dans le courant du XIXe, supplantant l'usage de la plume d'oie. Boulogne-sur-Mer, placée sur la route de l'importation, voit s'ouvrir en 1856 une première fabrique industrielle de plumes. La marque et l'emballage sont déposés par la société Gilbert et Blanzy-Poure. Une notice au dos des boîtes indique1 :

    « La plume Sergent-Major, la meilleure des plumes est la propriété exclusive des Établissements Gilbert et Blanzy-Poure Réunis fondés en 1856 : les contrefaçons et manœuvres déloyales tendant à offrir aux personnes qui demandent des plumes Sergent-Major des plumes ne portant pas cette marque bien qu'elles aient une forme analogue seront rigoureusement poursuivies conformément à la loi [...] Pour éviter toute contrefaçon, exiger les mots Sergent-Major marque déposée sur chaque plume et la bande tricolore autour de la boîte. »

    Ps : J'en ai eu une seule fois une plume sergent major, elle créait une écriture belle et élégante, il fallait bien s'appliquer.Elle était assez chère et mes parents avaient peu de moyen et nous étions quatre enfants.

     

     

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  • Machine à écrire

    • 1714 : Premier brevet accordé à l'Anglais Henry Mill.
    • 1829 : The Typographer de l'Américain William Austin Burt, breveté le 23 juillet.
    • 1837 : Cembalo scrivano de l’italien Giuseppe Ravizza.
    • 1839 : François-Pierre Foucault, ami de Louis Braille invente une machine à écrire constituée d‘un ensemble de leviers terminés par des poinçons gravés et actionnés par un ensemble de touches, qui permet d’écrire en raphigraphie, un système typographique initialement inventé par Braille de reproduction en relief des lettres sur papier d’une façon lisible à la fois de façon tactile par les aveugles et de façon visuelle par les voyants non formés à l’alphabet Braille, ce qui facilite les échanges par écrit entre les aveugles et leur famille.
    • 1850: invention de la machine à écrire avec ruban encreur par Oliver T Eddy. Baltimore
    • 1867 : Mise au point par Christopher Latham Sholes - un imprimeur - d'un prototype artisanal qui sera ultérieurement produit en série et commercialisé par la firme « Remington ».
    • 1865 : Skrivekügel du Danois Rasmus Malling-Hansen.
    1870 : première machine , « The Writing Ball » de Rasmus Malling-Hansen.
    • Fin du XIXe siècle, la machine à écrire Blickensderfer (en) utilise déjà le principe de la boule ou du cylindre tronqué. Ce qui offre la possibilité de changer les polices. Néanmoins, malgré un succès initial de la Blickensderfer, celle-ci se fit détrôner par d'autres types, notamment la Remington ;
    • 1873 : Remington, « The typewriter » jusque là producteur d'armes, de matériel agricole et de machines à coudre, produit en série et commercialise la machine à écrire de C. L. Sholes (modèle dit Machine à écrire Sholes et Glidden).
    • Dans les années 1870, Mark Twain est séduit par le procédé et devient l'un des premiers écrivains à soumettre à son éditeur ses œuvres écrites avec une machine à écrire (La Vie sur le Mississippi et Les Aventures de Tom Sawyer).
    • 1874 : le téléscripteur d'Émile Baudot.
    • 1914 : première machine électrique.
    • 1935 : la petite machine portable, l’« Hermes-Baby ».
    • 1961 : la « machine à boule » d'IBM (sous le nom d'IBM Selectric typewriter) reprend un dispositif ancien (autrefois mis en œuvre par la Machine « Blickensderfer » en fin XIXe siècle) pour ré-introduire la possibilité de changer rapidement la fonte de caractères.
    • 1976 : la machine à marguerite.
    • 1977 : Olympia crée une nouvelle machine à écrire portative.
    • 1986 : Machine à écrire électronique avec écran 1 à 3 lignes avec les CANON e70. Cette mémoire permet des corrections immédiates.
    • 1992 : Première machine à écrire avec grand écran créée par Powerbook 145.
    • 2011 : Fermeture de la dernière fabrique à machines à écrire (Godrej & Boyce, Mombai, Inde).

    La machine à écrire a ainsi été supplantée par le clavier d'ordinateur et les traitements de texte. Sources Wikipedia.

    Ps : Je n'ai pas connu les cours Pigier seule ma soeur aînée y a eu des cours d'apprentissage... Perso, j'ai appris sur le tas en 1974 comme on dit, mais quel souvenir fantastique quand j'y pense.

    la vie passe trop vite et ce n'est pas fini. La modernité est en pleine effervescence et j'ai du mal à suivre.yes

     

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  • Le train à vapeur

    C'est au Royaume-Uni, au début du XIXe siècle, que commence l'histoire des chemins de fer où la première locomotive à vapeur est construite par Richard Trevithick en 1804.

    La traction à vapeur est inaugurée le 12 août 1812, sur le Middleton Railways, dans le Yorkshire. Il s'agit de locomotives pour rails à crémaillère, remorquant des wagonnets de charbon. Les locomotives sont construites par Matthew Murray et John Blenkinsop.

    Le 27 septembre 1825 est inauguré le chemin de fer de Stockton et Darlington, première ligne ouverte au transport de passagers. La locomotive est celle conçue par George Stephenson.

    En 1827, l'ingénieur français Marc Seguin met au point la chaudière tubulaire, qui permet de quasiment décupler la puissance des machines, et la même année est construite la première ligne de chemin de fer français de Saint-Étienne à Andrézieux2.
    En 1829, la première locomotive française est utilisée sur la deuxième ligne française de chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon.

    Bien que la traction électrique soit à l'étude dès les années 1880, et utilisée dès les années 1900, c'est en fait la traction diesel qui cause la perte de la traction vapeur, là où l'électrification ne semble pas rentable ou pas souhaitable, stratégiquement. Le programme d'électrification intense de l'après-guerre, et la livraison de nouvelles locomotives diesel dans les années 1950, marquent le déclin de la vapeur, tout à la fin des années 1970. La turbine à gaz est aussi utilisée, mais avec moins de succès.

    Certains pays, particulièrement bien dotés en ressources naturelles de charbon ou de tourbe, continuent à utiliser la traction à vapeur de manière principale, jusqu'à la fin du XXe siècle, dont, notamment, la République démocratique allemande, l'Afrique du Sud, la Chine et l'Inde.

    Les locomotives à vapeur conservent également un certain succès pour les lignes de haute montagne parce que la traction à vapeur est favorisée par la baisse de la pression atmosphérique due à l'altitude abaissant le point d'ébullition de l'eau. Cela permet même des économies de combustible et de meilleures performances.Sources Wikipedia.

    Ps : Le train à vapeur je l'ai connu très jeune (13 et demi ans quand j'ai commencé à travailler) , j'aimais le bruit qu'il faisait en démarrant...

    Certes il n'étais pas confortable, les sièges en bois faisaient mal aux fesses

    mais bon on en est pas mort...Fabuleux souvenir. J'ai fait cette créa en pensant à Jean Gabin et Simone Simon dans le beau film "La bête Humaine".

     

    Le train à vapeur

     

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  • Le chapeaux

     

    On n'a pas de traces de chapeau datant de la préhistoire, mais il est possible qu'ils aient existé.

    Des chapeaux sont en tous cas portés dès l'Antiquité, dont par exemple le pétase. Dans son Thresor de la langue françoyse, paru en 1606, Jean Nicot cite le « chapeau contre le bronzage/hasle du Soleil » (Causia, Vmbella), celui de paille de blé « fait d'espis de bled » (Corona spicea), le « chapeau de fleurs, ou Bouquet » (Sertum, Strophium), le « Chapeau deentrelassées et entassées » (Pactilis corona).

    Au Moyen Âge, selon Philippe Le Bas, leur usage est attesté dès le règne de Charles VI, où les chapeaux fréquemment portés à la campagne sont adoptés à la ville « mais seulement les jours de pluie ». On sait que Charles VII, pour son entrée dans Rouen en 1449, portait un chapeau de castor. Louis XI est fréquemment représenté avec son chapeau orné d'enseignes, des "images en plomb des saints auxquels il avait le plus de dévotion ».

    Évoluant au gré des modes, il continue à être utilisé, même si au XVIIIe siècle, en raison des volumineuses perruques, les hommes portent au bras leur bicorne. En France son usage est petit à petit réservé aux femmes avant qu'au XVIIIe siècle les dames de la cour n'arborent les créations de leurs marchandes de modes.

    Le chapeau continue alors d'être portés par les deux sexes jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui, il n'est plus qu'un accessoire de mode, porté lors d'occasion spéciale (mariage, enterrement) ou pour se protéger des éléments (pluie, soleil).Sources Wikipedia.

     

    Ps : A cette époque on portait le chapeau, le foulard ou la voilette...

    En 1955 ma grand-mère très coquette avait une voilette très jolie et n'oubliait pas de mettre son foulard quand elle allait à l'église.Elle était très pieuse et m'a enseignée de belles choses comme le respect, la solidarité et la confiance.Depuis quelques années le chapeau revient à l'honneur en hiver pour se réchauffer et en été pour se protéger du soleil.

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