• Joëlle Mogensen, la chanteuse du groupe, est née à Long Island dans l'État de New York (États-Unis) en 19532. En 1969, à Saint-Tropez, elle rencontre deux anciens musiciens de Michel Polnareff, Richard Dewitte (batterie, chant) et Serge Koolenn (guitare, chant) et entame une liaison avec Serge Koolenn. Le couple s’installe à Colombes, près de Paris, et, avec Richard Dewitte, fait la tournée des bars.

     

    En 1971, retrouvant un ami d’enfance, Lionel Gaillardin, guitariste de Nino Ferrer, ils décident de créer avec lui le groupe « Il était une fois ». En 1972, ils enregistrent leur premier 45 tours, Rien qu’un ciel, écrit et composé par Richard Dewitte. La chanson connaît un énorme succès et les propulse en tête des classements et à la une des médias1.

     

    Ils deviennent le groupe le plus en vue des années 1970, avec quatre albums à leur actif et des tubes tels que Que fais-tu ce soir après dîner ?, Les filles du mercredi et surtout, en 1975, J’ai encore rêvé d’elle, chanson qui les amène au sommet de leur gloire. Ils passent à la télévision, enchaînent concert sur concert jusqu'au passage à l'Olympia en 19771. Le succès de ces chansons est dû au talent du tandem Serge Koolenn / Richard Dewitte, Koolenn se chargeant de rédiger les textes et Dewitte de composer la musique3.

     

    Cependant, leur nouveau mode de vie, les tournées, la pression médiatique vont distendre les liens entre Joëlle Mogensen et son compagnon. Le groupe finit par se séparer en 19791, après un dernier 45 tours, La clé des cœurs2.

     

    Joëlle Mogensen entame alors une carrière solo et, en 1980, sort son premier album, Joëlle tout court. Le 15 mai 1982, alors que son disque Aime-moi vient de sortir, la chanteuse meurt brusquement, à l'âge de 29 ans, d'un œdème pulmonaire1.

     

    Richard Dewitte, quant à lui, sort quelques 45 tours, bien plus confidentiels. On peut citer Elle aimait le sud4, sorti en 1981 chez EMI.

    Dans les années 1990, le groupe connaît à nouveau le succès en Belgique grâce à un sketch parodique des Frères Taloche mimant la chanson J'ai encore rêvé d'elle. Source Wikipédia.

    Ps : Déjà à l'époque la drogue commençait ses ravages.

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  • Stone et Charden est un duo musical français formé par Éric Charden (né le 15 octobre 1942 à Haïphong, Viêt Nam - mort le 29 avril 20121) et sa femme Annie Gautrat, dite Stone (née le 31 juillet 1947 à Paris2).

    Présentation

    Les chemins de Stone et Charden se croisent en 1966, année où ils se marient. Menant chacun une carrière séparée , ils décident de former également un couple sur scène en 1971. Ils explosent grâce au carton L'Avventura. Déchiré par les tensions artistiques, médiatiques et amoureuses, le duo divorce en 1974 et s'écarte des projecteurs pendant un temps, reprenant chacun un bout de chemin en solo, avant de réapparaître côte à côte dans les années 1990.

    Ils sont en 2009-2010 l'une des têtes d'affiche de la tournée Âge tendre et Têtes de bois saison 4, et sont tous deux faits chevaliers dans l'ordre de la Légion d'honneur le 1er janvier 2012.Source Wikipedia.

     Ps : Que du bonheur de les entendre, un duo qui nous a fait danser et rêver.

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  • Dan Gibson (Montréal, 19 janvier 1922 – 18 mars 2006) était un photographe, le directeur de la photographie et le preneur de son.

    En dan. mémoire gibson

    Au cours de la fin des années 1940, Dan Gibson ont pris des photos et fait des films de nature, dont le théâtre de la faune Audubon. Dan a produit beaucoup de films et de séries télévisées par lesquelles il a appris comment enregistrer le son de la faune. Il pionnier de techniques d'enregistrement et également aidé conception matériel pour optimiser les résultats, y compris « Microphone parabolique Dan Gibson ». Certains de ses enregistrements au début des années 1950 et 1960 ont été publiés sur LP recordset a commencé sa série de Solitudes , qui a été présenté en 1981.

    Dan est bien considéré pour ses contributions aux Friends of Algonquin Parket son dévouement à l'Association de résidents du parc Algonquin. Ayant un bail des terres dans le Parc Provincial Algonquin a donné Dan et sa famille (épouse : Helen, enfants : Mary-Jane ou « Simo, » Holly, Dan et Gordon) une occasion unique pour se connecter avec la nature et il a certainement alimenté sa passion pour l'étude, la préservation et l'interaction avec la faune.

    En 1994, Dan a reçu L'ordre du Canada pour ses travaux environnementaux. En 1997, Dan a reçu le Walt Grealis Special Achievement Award lors de la cérémonie de Remise des prix Juno à Hamilton (Ontario).

    En 2004, il sort son premier DVD, beauté naturelle, qui a été à l'origine tourné en Haute définition.Source Wikipedia.

    Ps : Pour la pentecôte je vous dédie cette belle vidéo, que j'ai découvert sur youtube. Je me suis régalée à en avoir les larmes aux yeux...

    Bonne fête à tous mes amis.

     

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  • Né prématuré de deux mois sur le quai de la gare de Berlin, d'un père brandebourgeois, il est initié au violon et au chant sous l’impulsion de sa mère, originaire de Bromberg et grande admiratrice de Fédor Chaliapine.

    Adolescent, il est soprano soliste de l’un des plus anciens chœurs de garçons d’Allemagne, le Stadtsingechor (de) de l’institution August Hermann Francke dans la ville de Halle an der Saale (1945 - 1950)6. Pendant un court temps, il fait aussi partie de la Thomanerchor, le chœur de garçons de la Nikolaikirche – église Saint Nicolas – de Leipzig sous la direction du maître de chœur, organiste et compositeur Günther Ramin7.

    Plus tard, il est soliste du chœur des Cosaques du Don dirigé par Serge Jaroff8 et membre des ensembles des Cosaques de la Mer Noire et de l'Oural fondés par Andrej Scholuch9.

    À partir de 1951 et jusqu’en 1959, ce colosse de 1,96 mètre et 115 kilos poursuit ses études de chant, clavier et violon à l’école supérieure de musique de Hambourg en bénéficiant d’une bourse Fulbright. Il obtient le premier prix du concours des écoles supérieures d’Allemagne fédérale en 1958.

    Il est également premier prix du neuvième concours international de musique de l'ARD en 1960 à Munich, en interprétant, entre autres, Fühlt meine Seele l’un des trois Michel Angelo Lieder du compositeur Hugo Wolf10.

    Ses débuts en musique classique ont lieu à l'opéra de Gelsenkirchen (1960-1963) et à celui de Francfort (1963-1969). Son premier rôle à l’opéra fut celui de Don Basilio dans Le Barbier de Séville de Rossini. La soprano Inge Borkh, qui l'a connu durant son engagement à Francfort, estimait qu'à cette époque, son talent était largement sous-estimé11.

    Ivan Rebroff expliquait son passage à la « musique légère » par un « accident » : jouant le rôle de Jupiter dans Orphée aux Enfers à l’opéra de Munich, il s’est malencontreusement rompu le tendon d'Achille sur scène. Obligé d’interrompre les représentations, il s’est consacré à l’enregistrement de son premier disque, incluant les chansons russes Plaine, ma Plaine et La Légende des douze Brigands. Cette seconde chanson est passée à la radio Europe 1 et le standard téléphonique a été submergé d’appels d’auditeurs voulant connaître le nom du chanteur. À la suite de cela, arrivé à Paris, il s’est vu offrir, en 1968, le rôle du laitier Tevje, dans la comédie musicale Un violon sur le toit, dans laquelle il interprétait entre autres Ah ! Si j'étais riche. Les représentations ont débuté en novembre 1969 au théâtre Marigny12 avec pour partenaire principale Maria Murano qui interprétait Golde. Ce rôle a apporté à Ivan Rebroff la célébrité, tant en France qu’en Allemagne (le journal France-Soir a publié à l'époque : « Hier soir, au théâtre Marigny, après la générale du Violon sur le Toit, personne n'en doutait plus : Paris tient enfin sa première vraie grande comédie musicale. On sait aussi désormais qu'Ivan Rebroff n'est pas qu'une sorte de phénomène vocal, une sorte d’Yma Sumac barbu, mais un authentique comédien. »), et a été le point de départ de sa carrière internationale. 653 représentations du Violon sur le toit ont suivi à Paris, et avec les tournées, 1 476 au total selon son impresario.Source Wikipedia.

    Ps : j'avoue que je restais baba devant ce grand chanteur d'opéra...La deuxième vidéo m'a donné le frisson !

     

     

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  • Sacha-Alexandre Distel, dit Sacha Distel, est un guitariste de jazz, compositeur et chanteur français d'origine russe, né à Paris le 29 janvier 1933 et mort au Rayol-Canadel-sur-Mer le 22 juillet 2004.

    Biographie

    D'origine russe par son père, Leonid Distel, chimiste russe émigré, Sacha Distel est le neveu de Ray Ventura par sa mère, Andrée Ventura1.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, il est caché comme 13 autres enfants juifs2 par Constant Domaigné au collège de l'Immaculée-Conception de Laval. Il y est enregistré sous le nom d’Alexandre Ditel, afin d'éviter la curiosité des militaires allemands présents dans les locaux du collège. Il avait comme correspondante : Fernande Chaboche à La Baconnière, employée de maison chez les Distel : c’est elle a qui a été confié l’enfant par ses parents en février 1943, et qui l'a élevé pendant cette période. Il l’appelait sa marraine. Il reste au collège jusqu'à la Libération de Laval en août 1944.

    Il commence par être guitariste de jazz dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés. Il fait ses débuts de chanteur en 1958 au casino d'Alger. Après une idylle avec Brigitte Bardot, il épouse en 1963 la skieuse Francine Bréaud avec qui il aura deux fils, Laurent (1964) et Julien (1967).

    Bercé par les accords des « Collégiens », éduqué par les plus grands, poussé par Ray Ventura, Stan Getz, Django Reinhardt et bien d'autres, à la fin des années 1950, il va devenir un grand guitariste de jazz français. Il joue avec Stéphane Grappelli, Roger Guérin, Maurice Vander, et Michel Portal, John Lewis, Lionel Hampton.

    L'éveil

    Grâce à son oncle Ray Ventura, qu’il prenait comme modèle, Sacha Distel s’intéressa progressivement au jazz. « L’oncle Raymond » était en effet tombé dans le chaudron dès son plus jeune âge. L’Original Dixieland Jass Band qui marqua le début officiel du style n’existait que depuis quelques années quand Raymond Ventura monta son propre orchestre au lycée. Il eut vite à cœur de promouvoir ce courant musical durant les années 1930 et contribua à la percée du « swing » en France. Sacha Distel était à bonne école, lorsque son oncle s’installa à Paris avec « ses Collégiens » et qu’il put assister aux diverses répétitions et enregistrements de l’orchestre. Vite absorbé par cette nouvelle mouvance entraînante, il délaissa le piano pour des contrées sonores plus excitantes que semblait offrir la guitare. C’est avec Henri Salvador et son installation dans un studio proche de l’appartement de la rue Erlanger en 1947 que le guitariste prit définitivement le pas sur le lycéen. Chargé d’amener l’étoile montante de Ray Ventura aux studios de Neuilly, le jeune Sacha devint progressivement un élève de ce dernier. Henri Salvador, dont le succès était déjà palpable, accepta de lui enseigner les rudiments de la guitare, qui lui ouvrirent rapidement les portes du milieu à son tour. La formation des « Noise Makers », de « jeunes gens » du seizième arrondissement de Paris, ne tarda pas à vouloir compter le jeune prodige parmi eux et ce fut le début du succès. Adulé par les jeunes filles du quartier, l’orchestre fut vite l’incontournable des « surprises-parties » avec ses sonorités Jazz Nouvelle-Orléans.Source Wikipedia.

    ps : Un chanteur que j'aimais beaucoup dans ma jeunesse. Il a eu une fin bien triste.

     

     

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