• Enrico Macias, né Gaston Ghrenassia à Constantine, en Algérie, le 11 décembre 1938, est un chanteur, musicien, compositeur et acteur français.

    Biographie

    Gaston Ghrenassia2, est le fils de Sylvain et de Suzanne Zaouch, famille juive d'Algérie de musiciens de malouf3. Son père était violoniste dans l’orchestre de Raymond Leyris dit Cheikh Raymond (le beau-père de Macias, ce dernier ayant épousé en 1962 sa fille Suzy avec qui il aura deux enfants Jocya et Jean-Claude4) ; il apprend la guitare grâce à son cousin Jean-Pierre, mais aussi avec des amis gitans qui lui donnent le surnom de « petit Enrico », son futur prénom d’artiste. Son nom d’artiste résulte d’une erreur de la secrétaire de la maison de disques qui a mal compris son nom au téléphone et le baptise « Macias », alors qu’Enrico lui avait soufflé « Nassia »5.

    D’abord instituteur en 1956, il rejoint l’orchestre de Cheikh Raymond. La mort de ce dernier, assassiné en juin 1961, symbole de l’échange entre les communautés d’Algérie, décide la famille Ghrenassia à quitter l’Algérie le 29 juillet 1961, soit onze mois avant la fin de la guerre d’Algérie, alors qu’il allait célébrer son union avec Suzy, la fille de Leyris. C'est durant cette traversée nostalgique de la Méditerranée comme de nombreux pieds-noirs, qu'il compose à la guitare « J'ai quitté mon pays, j'ai quitté ma maison »6. La famille s’installe à Argenteuil.

    À Paris, Enrico travaille irrégulièrement, vivant de petits boulots tout en se produisant dans les cabarets, jusqu’à ce qu’il soit repéré, qu'il fasse la première partie d’un concert de Gilbert Bécaud et passe en 1962 à la télévision dans l’émission Cinq colonnes à la une pour illustrer un reportage sur les rapatriés d'Algérie5. Son interprétation de la chanson Adieu Mon pays, devient le symbole de l’exil des Pieds-Noirs. Il adopte alors le pseudonyme d’Enrico Macias. Pathé Marconi sort son premier album en 1963, avec le titre phare Enfants de tous pays6.

    Reconnu internationalement, il reçoit le titre de Chanteur de la paix en 1980 de Kurt Waldheim.

    En 1985, il reçoit la Légion d’Honneur des mains du premier ministre français Laurent Fabius. Il est promu au grade d’officier en avril 2007.

    En 1998, il devient membre du conseil de surveillance du groupe Partouche. Il est également directeur général délégué de la Société européenne de grands restaurants, qui gère le Laurent, et appartient au groupe Partouche.

    En 2008, il est ruiné, ayant perdu 20 millions d'euros dans la crise financière islandaise à la suite de la faillite de la banque Landsbanki dans laquelle il avait investi cette somme en hypothéquant sa villa de Saint-Tropez7. En 2014, il est condamné à verser 30 millions d'euros à cette banque islandaise8.Source Wikipedia.

    Ps : j'ai beaucoup chanté cette jolie chanson...j'aime son répertoire fait de sincérité et de vie.

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  • Dalida, de son vrai nom Yolanda Cristina Gigliotti, née le 17 janvier 1933 au Caire et morte le 3 mai 1987 à Paris, est une chanteuse et actrice. Issue d'une famille italienne, elle a chanté et joué en italien, en français, en arabe égyptien, en hébreu, en anglais, en espagnol, en allemand, en flamand, en libanais, en grec et en japonais1,2,3,4.

    Dalida a vendu beaucoup de singles et d'albums à travers le monde (en Italie, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Allemagne, en Égypte, au Canada, au Moyen-Orient, au Japon, en Amérique du Sud... et surtout en France). Elle a été la première à recevoir un disque d'or pour Bambino (1956), un disque de platine (1964) et un disque de diamant (1981). Dalida a reçu deux fois l'Oscar Mondial du Succès du Disque (en 1963 et en 1974), ainsi que le prix de l'Académie du Disque Français (pour Il venait d'avoir 18 ans en 1975). Ayant refusé, à deux reprises (1958 et 1978), un contrat exclusif avec les États-Unis, elle obtint toutefois une ovation mémorable au Carnegie Hall de New York en décembre 1978 et au Shrine Auditorium de Los Angeles en octobre 19865. Avec Édith Piaf, Dalida est la chanteuse populaire française qui a le plus marqué le XXe siècle selon un sondage Ifop en date de 20016.

    Biographie

    Du Caire à Paris

    Yolanda Gigliotti naît le 17 janvier 1933 à Choubra (faubourg aux portes du Caire) de parents italiens (originaires de Serrastretta, dans la Calabre). Son père, Pietro Gigliotti (1904-1945), est premier violon à l'Opéra du Caire ; elle le suit en coulisse lors de ses répétitions, entonnant des airs d'opéra7. Sa mère Giuseppina Gigliotti est couturière. Elle est la seule fille d'une famille de trois enfants : Orlando est l'aîné ; son frère cadet, Bruno, est né en 1936 (par la suite, il prendra pour nom de scène Orlando, le prénom de son frère aîné, et deviendra l'agent artistique de Dalida)8.

    À la fin de l'année 1933, elle est plongée dans le noir (bandage porté 40 jours sur les yeux selon les recommandations du médecin9) à cause d'une infection des yeux. Cet accident de santé provoquera chez elle de violents maux de tête et un strabisme convergent que plusieurs interventions chirurgicales (y compris à l'âge adulte) atténueront, mais qui l'oblige à porter des lunettes jusqu'à 16 ans, âge auquel elle les jette pour se prouver qu'elle est belle malgré ce strabisme10.

    Elle étudie dans une école religieuse de Choubra et fait ses premiers pas sur scène dans le club de théâtre de l’école. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, son père, comme tous les immigrés italiens, est interné dans le camp de Fayed, près du Caire. Tous les deux mois, elle lui rend visite, mais le voit progressivement dépérir. Il revient du camp en 1944 avec des migraines et l'amertume de sa carrière gâchée. Toute la famille devra subir son instabilité psychologique11. Il meurt d'une congestion cérébrale un an plus tard12.

    Après avoir travaillé dans la maison de couture Donna où elle devient mannequin, elle remporte en Égypte quelques concours de beauté, dont le titre de « Miss Égypte 1954 »8, et tourne dans plusieurs films de série B. Puis à l'âge de 21 ans elle gagne Paris dans l'espoir de faire carrière dans le cinéma8. Mais elle prend rapidement conscience du fait que son maigre bagage ne pèse rien aux yeux des producteurs français et s'oriente alors vers la chanson : elle débute à la Villa d'Este, dans un répertoire à l'exotisme latin. Au début de sa carrière, Yolanda Gigliotti a pour nom de scène « Dalila », mais ce pseudonyme faisant trop penser aux mythiques Samson et Dalila, elle le change très vite en « Dalida ».Source Wikipedia.

    Ps :

    contente c'est le premier jour de l'été et il fait beau.... en plus c'est la fête de la musique de la joie tout autour de la terre... contente  l'équipe de bleus nous a offert du bonheur hier soir 5 à 2...c'était  genial 

    Que de belles nouvelles en un seul jour pourvu que ça continue... beco

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  • Les Inconnus est le nom d'un trio comique français qui réunit Didier Bourdon, Bernard Campan et Pascal Légitimus. Ils étaient initialement cinq, avec Smaïn et Seymour Brussel qui quitteront le groupe plus d'un an après sa création.

    Le trio devient très populaire dans les années 1990 grâce à sa célèbre émission parodique La Télé des Inconnus dont certains sketchs ont été également mis en scène lors de spectacles.

    Ils se séparent au milieu des années 1990, au pic de leur célébrité, à cause d'un différend juridique avec leurs ex managers et producteurs Paul Lederman et Claude Martinez. Cependant, les trois acolytes ont toujours été et restent encore aux yeux du grand public associés au nom des Inconnus, que cela soit contractuellement le cas ou pas. Ce contentieux reste d'ailleurs largement ignoré du grand public.Sources wikipédia.

    Ps : J'adore ce trio, ils me font toujours autant rire...

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  • Élie Kakou, de son vrai nom Alain Kakou, est originaire d'une famille (juive tunisienne) française (son père, Joseph, d'Algérie, était soldat français ; sa mère était une Valensi).

    Ayant reçu une éducation juive tant dans la cellule familiale que dans son mouvement de jeunesse, l'Hachomer Hatzaïr, il part pour Israël et effectue son service militaire obligatoire1, après son service militaire. Il fait ses premiers pas au Club Med2, puis sur la petite scène du restaurant-cabaret marseillais La Payotte, fondé par le chanteur Joyeux de Cocotier et sa compagne Elizabeth Meissirel. Il suit en parallèle des études de prothésiste dentaire. Il débute sérieusement au théâtre parisien du Point-Virgule où l'avait repéré Marie-Caroline Burnat, et participe deux fois à la soirée des Enfoirés (en 1993 et 1995), apportant à ce spectacle son humour et ses personnages fantaisistes. Ainsi, grâce à lui, les Restos du Cœur sont dotés d'une attachée de presse, toujours prête à dire au public : « Eh ben alors… C'est un spectacle comique : faut rigoler. » En 2010, Liane Foly lui rend un hommage en l'imitant dans un des medleys en reprenant sa célèbre phrase.

    Kakou est nommé aux Victoires de la musique en février 1995 dans la catégorie « meilleur humoriste ».

    Ses spectacles hauts en couleur sont de grands succès : Olympia, Zénith et Cirque d'Hiver Bouglione (dernier de sa carrière). En 1997, Kamel Ouali fut un des danseurs lors de son spectacle au Cirque d'Hiver3. Peu avant son décès, il démarre une carrière cinématographique, apparaissant notamment dans La Vérité si je mens ! du cinéaste Thomas Gilou.

    Il est décédé à 39 ans à Paris le 10 juin 1999, des suites d'un cancer du poumon et repose au cimetière juif des Trois-Lucs dans le 12e arrondissement de Marseille.

    Thomas Gilou lui a dédié son film La vérité si je mens ! 2 sorti en 2001 en hommage au rôle de Rafi Styl'mode qu'Élie Kakou avait tenu dans La vérité si je mens !.

    Aujourd'hui, son cabinet de presse, la Kakouphonie, est toujours en activité, recevant quotidiennement des courriers de fans et gérant son patrimoine audiovisuel.

    Sa sœur, et ancienne costumière, Brigitte Kakou, dirige une association : Les enfants d'Élie. Cette association a pour vocation de permettre à des enfants défavorisés de partir en vacances. Elle a également publié une biographie de l'humoriste, Élie, mon frère, dont les bénéfices sont reversés à l'association.Sources Wikipedia.

    Ps : Un artiste hors du commun parti trop tôt...Il m'a fait b eaucoup rire, et c'était un régal de le voir jouer. J'adore la deuxième vidéo. Je vous souhaite un bon moment.


     

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  • Pierre Bachelet enregistre sa première chanson en 1974 : Emmanuelle, en français et en anglais. En 1975 sort son premier album L’Atlantique. Il doit attendre 1980 pour connaître le succès du grand public avec son deuxième album Elle est d’ailleurs. La chanson éponyme est vendue en 45 tours à 1,5 million d’exemplaires. L’album marque également le commencement d'une longue collaboration avec le parolier Jean-Pierre Lang.

    Le troisième album, en 1982, comprend le succès devenu classique avec Les Corons, sur le travail et la vie des mineurs. C’est l'année des premiers grands spectacles : première partie à l’Olympia de l’humoriste Patrick Sébastien, puis tournées en Europe francophone.

    En 1984, après son quatrième album Découvrir l’Amérique, il est la vedette de l’Olympia. Il poursuit en 1985 et 1987 avec trois nouveaux albums qui comprennent les succès Marionnettiste, En l’an 2001 et Vingt ans. Les tournées sont assurées d’un succès après chaque sortie d’album.

    Au début des années 1990 sortent un album en public Bachelet en scène et une première rétrospective de ses meilleures chansons (10 ans de Bachelet pour toujours, mais également un nouvel album Quelque part… c'est toujours ailleurs sur lequel il chante les chansons Quelque part… c'est toujours ailleurs, Flo et Typhon en duo avec la navigatrice Florence Arthaud. Les concerts l’amènent dans les îles de l’océan Indien et au Québec, où il connaît un grand succès.

    En 1995, il sort un album de chansons sur la ville intitulé La ville ainsi soit-il. Après quinze ans de collaboration avec Jean-Pierre Lang, il laisse pour la première fois l'écriture des tous les textes de l'album à l’écrivain Yann Queffélec. Trois ans plus tard, ces deux derniers chansonniers se retrouvent tous les deux sur l'album Un homme simple, mais d'autres auteurs (dont Pierre Bachelet lui-même pour trois chansons) signent les paroles des chansons. Il rend hommage au navigateur disparu Éric Tabarly.

    Du milieu des années 1990 à sa mort en 2005, Pierre Bachelet continue sa carrière, moins médiatisée que dans les années 1980, mais avec un public fidèle. Il parcourt régulièrement la France lors de tournées d'été où il interprète ses plus grands succès, dont plusieurs fois en plein air et parfois dans le cadre de concerts gratuits. Son dernier album, Tu ne nous quittes pas paraît en 2003. C'est un hommage à Jacques Brel, où il reprend les plus grands succès du chanteur belge, à qui on l'a souvent comparé.

    Malgré sa maladie, il fête ses trente ans de carrière au Casino de Paris, en 2004. Ce sera son dernier spectacle.

    Après son décès, un album posthume intitulé Essaye est publié avec dix chansons inédites. Il comprend aussi deux "bonus tracks", la chanson Les Corons interprétée avec les supporters du club de football RC Lens, et une nouvelle version d’Emmanuelle.Sources Wikipedia.

    Ps : Un bon chanteur et des chansons indémodables et éternelles...

     

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